TOULOUSE, église Sainte-Marie la Daurade
Données
Topographie{{#display_map:43.601003,1.439796|width=400|height=300|service=osm|zoom=18}} | |
Pays | FRANCE |
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Région | Occitanie |
Département | Haute-Garonne |
Commune | Toulouse |
Insee | 31555 |
Adresse/Lieu-dit | 1 place de la Daurade |
Toponyme | |
Propriétaire | |
Protection de l'édifice | Cl.MH 1963 |
Références cartographiques | |
Numéro parcellaire sur le Cadastre actuel | cad. JJ2 1792 |
Latitude | 43.601003 |
Longitude | 1.439796 |
Altitude |
Sources historiques et identification
Sources d'archives
Archives nationales : N. III, Haute-Garonne Archives départementales de l’Hérault : C498-1 [1]
Sources Bibliographie
Noguier A., Histoire Tolosaine, Toulouse, 1556. Chabanel J. de, De l'antiquité de l'église Nostre-Dame dite la Daurade à Tolose et autres antiquitéz de la ville,Toulouse, 1625, 89 p. Chabanel J. de, De l'Estat et police de l'église Nostre Dame dite la Daurade à Tolose, Toulouse, 1625, 82 p. Lamothe Odon (dom), Description des mosaïques de la Daurade à Toulouse, 1633 (Bibliothèque nationale, ms lat. 12680, fol. 231 v°-235r°, texte en latin publié dans Cahiers archéologiques, 13, 1962, p. 261-265. Martin Jacques (dom), La Religion des Gaulois tirée des plus pures sources de l'Antiquité, Paris, 1727. Rey R., « Le sanctuaire paléochrétien de la Daurade », Annales du Midi, 1949, p. 249- 273. Boyer G., « Une hypothèse sur l'origine de la Daurade », Annales du Midi, 1956, 68-33, p. 47-51. Mesplé P., « Recherches sur l’ancienne église de la Daurade », Mémoires de la Société Archéologique du Midi de la France, 31, 1965, p. 41-56. Jiménez Garnica A.-M., « El arte oficial de Toulouse bajo sobernia visigoda : la Daurade », Archivo espanol de arqueologia, 61, 1988, p.179-196. Scellès M., « L’ancienne église Notre-Dame la Daurade à Toulouse », Mémoires de la Société Archéologique du Midi de la France, 63, 1993, p. 133-144. Scellès M., « Toulouse : église Notre-Dame la Daurade », Atlas archéologique de la France. Les premiers monuments chrétiens de la France, 2, Sud-Ouest et Centre, Paris, 1996, p. 190-196. Cazes Q., Scellès M., « La basilique Sainte-Marie : Notre-Dame La Daurade », dans Pailler J.-M., dir, Tolosa. Nouvelle recherches sur Toulouse et son territoire dans l’Antiquité, CEFR 281, Rome, 2002, p. 487-488. Cazes Q., « L’architecture de l’église Notre-Dame la Daurade à Toulouse », Mémoires de la Société Archéologique du Midi de la France, 63, 2003, p. 59-74. Boudartchouk J.-L., Cazes Q., « Les sondage de 1961 dans l’abside de l’ancienne église de la Daurade », Mémoires de la Société Archéologique du Midi de la France, 63, 2003, p.181-185. Caille J., Sainte-Marie « La Daurade » à Toulouse : du sanctuaire paléochrétien au grand prieuré clunisien médiéval, Paris, CTHS, 2006. Cazes Q., L’ancienne église Sainte-Marie-la-Daurade à Toulouse, Toulouse, Guides archéologiques du musée Saint-Raymond, 3, 2010.
Conservation
Détruite en 1761-1762
Titulature actuelle
Notre-Dame de la Daurade dite aussi Sainte-Marie la Daurade
Titulature historique
Notre-Dame La Daurade
Diocèse actuel
Toulouse
Diocèse historique
Toulouse
Contexte d’implantation
Description
L’ancienne église Sainte-Marie la Daurade est située sur la rive droite de la Garonne, sans doute sur une éminence naturelle, à proximité d’édifices importants, le théâtre antique au sud, et au nord le palais des rois goths, construit vers 450, créant un triangle formé par la rencontre de l’enceinte antique et la Garonne.
Structures antérieures
Grande salle, aux murs de briques de plus de 1 m d’épaisseur
Fonction
Bâtiment
Eglise
Informations générales
Description | [[Image:{{{PlanGeneral}}}|thumb|right|border|135px|Évolution du plan]] |
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Articulation en états
Etat I
Etat I | |
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Architecture | |
PlanPlan longitudinal PartiesLa première église se compose d’une nef de 28 x 16 m qui réutilise une grande salle antique, dont la partie orientale a été démolie et sur laquelle s'est greffée l'abside. L'abside comportait sept pans, le plus large à l'est mesure environ 6 m (20 pieds), les autres sont de longueur décroissantes (17, 14, 11 pieds) décrivant un ovale ouvert qui n'a jamais été plein (cf. sondages archéologiques) comme l'imaginait dom Martin. L'abside largement ouverte communiquait vers l'extérieur par deux portes situées dans les pans coupés jouxtant le pan axial, la troisième porte axiale a été ouverte au Moyen Âge. L'élévation intérieure était scandée de trois rangées de niche demi-circulaires ménagées dans le mur, encadrées de colonnes et chapiteaux de marbre et revêtues de mosaïques à fond d'or. Éclairage : Trois grandes fenêtres dans les trois pans orientaux et deux fenêtres plus petites dans les pans latéraux. D'après les texte : l'abside était couverte d'une coupole possédant un oculus zénithal | |
Matériaux et techniques de construction | |
ActivitéConstruction | |
Installations liturgiques | |
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Sépultures | |
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Inscriptions | |
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Objets dispersés non rattachables à l'architecture de l'église
Liste des objets
Chapiteaux et mosaïque
Considérations critiques sur les états et sur la chronologie
Informations sur la publication
Date | janvier 1, 1970 |
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Auteur | Bbrandenburg Fiche personnelle |
Statut de la fiche | 2. En cours de saisie |
Qualité de la fiche | {{#paper_quality:{{{qualite_fiche}}}}} |