Modifier Fiche édifice : SALMAISE, église Notre-Dame

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Identification
Informations generales
Etats
Objets disperses
Datation et interprétation
Divers
Tracabilite
Signature

Références administratives, topographique, sources et bibliographie

Topographie[modifier]

Topographie Description du point de vue géographique

Topographie

Numéro parcellaire sur le Cadastre actuel Cadastre

Pays Pays dans lequel se situe cet édifice
Région Région dans laquelle se situe cet édifice
Département Département dans lequel se situe cet édifice
Commune Commune où est implanté cet édifice
N° Insee Code postal INSEE de la commune (INSEE)
Adresse / Lieu-dit Adresse ou lieu-dit d'implantation
Toponyme Cette information permet de générer la partie ville ancestrale du titre de la page. Si ce champ est renseigné, le titre sera de la forme : TOPONYME, bâtiment [+ dédicace]. Au contraire, s'il reste vide, l'attribut Commune sera pris comme valeur par défaut pour le titre.Ce champ n'est pas obligatoire.
Proprietaire Préciser le propriétaire de cet édifice
Protection de l'édifice Protection de l'édifice : classé, inscrit (Architecture et Patrimoine)	Cl. M.H. 24.06.1983
Références cartographiques (éventuelles) Références cartographiques : IGN	CoordonnéesChamp contenant les coordonnées issues de la recherche ci-dessous sachant que les informations sont à reporter dans les champs ci-contre et seules les données numériques sont utiles, autrement dit, ne pas sélectionner les unités (°) et points cardinaux (N, S, E, O) au moment de la copie. Map goes here...
Coordonnées WGS84 Coordonnées de l'édifice obligatoirement au format standard WGS84 (Yahoo Maps)
Latitude Latitude
Longitude Longitude
Altitude Altitude

Sources[modifier]

Sources historiques et identification Description des sources historiques permettant l'identification de l'édifice. Merci d'insérer un saut de ligne entre chaque référence.

Sources historiques et identification


Sources epigraphiques Sources epigraphiques
Sources indirectes Sources indirectes, n'ayant pas directement trait à l'édifice	Roserot A., 1924, ''Dictionnaire topographique du département de la Côte-d'Or'', Paris. Courtépée C. et Béguillet M., 1847-1848, ''Description générale et particulière du duché de Bourgogne'', Avallon, t. 4, p. 233-235. Chevrier G. et Chaume M., 1943-1986, ''Chartes et documents de Saint-Bénigne. Prieurés et dépendances des origines à 1300'', t. 2 (''990-1124''), Dijon, 1943, chartes n° 217, 255, 272, 341 et 373.
Sources d'archives Sources d'archives	Médiathèque de l’architecture et du patrimoine : [[http://www.mediatheque-patrimoine.culture.gouv.fr]] Bibliothèque municipale de Dijon : Denizot J., 1866, ''L'encyclopédie du département de la Côte-d'Or, contenant, par ordre alphabétique, tous les noms anciens et modernes des localités... (commencée en 1866)'', ms. 1731, t. V-2, p. 410-412. Archives départementales de la Côte-d’Or : 1 H 1550 ; 1 H 1755 ; C 1205 ; B 11637 ; 2 O 580/7.
Sources archeologiques Sources archeologiques : rapports d'opérations non publiés	Sapin C. (dir.), 1988, ''Rapport de fouilles archéologiques de l’église de Salmaise (21)'', 3 vol., Dijon, SRA Bourgogne et association Burgondie. Sapin C., 1990, ''Étude archéologique du transept de l’église de Salmaise (21)'', Dijon, SRA Bourgogne et association Burgondie. Saint-Jean Vitus B., 1998, ''D.F.S. de surveillance de travaux de drainage (16/02 au 18/02/1998)'', Dijon, DRAC Bourgogne.
Bibliographie Références bibliographiques, livres, articles, notices (par ordre chronologique de publication)	Petit P., 1912-1913, « Salmaise ancien et moderne », ''Bulletin de la Société des sciences historiques et naturelles de Semur-en-Auxois'', 37, p. 15-18. Bulst N., 1973, ''Untersuchungen zu der Klosterreform Wilhelms von Dijon (962-1031)'', Bonn, p.51-52. Salvêque J.-D., 1980, « L’église de Salmaise », ''Mémoires de la Commission des antiquité de la Côte-d’Or'', 32, p. 337-344. Sapin C., 1986, ''La Bourgogne préromane'', Paris, p. 238-241 et 243. Sapin C., 1993, « Saint-Bénigne de Dijon, Saint-Pierre de Flavigny et les ateliers de sculpture de la première moitié du XIe siècle », ''Mémoires de la Commission des antiquités de la Côte-d’Or'', 35, p. 238-242. Sapin C. (dir.), 1999, ''Les prémices de l’art roman en Bourgogne'', Auxerre, p. 79-80. Sapin C. (dir.), 2006, ''La Bourgogne romane'', Dijon, p. 58 et 70-71.
Références à la documentation graphique et photographique Références à la documentation graphique et photographique	Bibliothèque municipale de Dijon : plan de De Truchis, 1898, ms. 2860, 2892, 2893 et 2894.
Conservation Etat de conservation de l'édifice	Il ne subsiste de l’église romane que le chevet et une partie du transept. Parallèlement aux travaux de restauration du chœur, sous la direction de l’architecte en chef des Monuments historiques F. Didier, trois campagnes de fouilles se sont déroulées entre 1988 et 1992. La nef romane a disparu à la fin du XIXe siècle lors de l’édification de la construction actuelle néo-gothique.
Titulature actuelle Actuelle titulature	Notre-Dame
Titulature historique Titulature historique	Notre-Dame
Diocèse actuel Actuel diocèse	Dijon
Diocèse historique Diocèse historique	Autun

Contexte[modifier]

Contexte d’implantation

Contexte d'implantation


Brève description du site Brève description du site, topographie, aspect général	L’église se trouve en contrebas du château qui occupe l’extrémité d’un plan calcaire.
Structures antérieures Structures antérieures, ruinées, adaptées, remplacées par l'édifice
Habitat contemporain Habitat contemporain de l'édifice du IVe au Xe siècle	Selon les sources, l’église avait été en relation avec un ''castrum'' que l’on peut entendre comme le lieu fortifié comprenant le château.

Fonction[modifier]

Fonction Fonction de l'édifice

Fonction


Bâtiment Détermination du type d'édifice religieux
Description Description de la fonction principale de l'édifice, puis des fonctions secondaires	Paroissiale et priorale à partir de 1013.
Groupe de rattachement groupe auquel l'édifice est rattaché, si applicable

INFORMATIONS GENERALES Informations générales

Informations Générales

Description Description des informations générales sur l'édifice, fondation, histoire, développement

Plan général

ARTICULATION EN ETATS Différents états de l'édifice

Etats

Etat i[modifier]

Etat Etat : sélectionner un numéro d'état non utilisé dans la liste

Architecture[modifier]

STRUCTURE COMPLEXE


Plan Plan : plan général longitudinal, centré ou inconnu, à choisir dans la liste	Aucune Plan inconnu Plan longitudinal Plan centré

Plan (image)
Parties décrire partie par partie d'Ouest en Est. Signaler les modifications apportées à l'édifice ou à l'une de ses parties par rapport à l'état précédent.	Le chevet conservé comprend une longue travée droite et une abside encadrée de deux absidioles accessibles depuis le transept. Le chevet mesure 11 m de long sur 8,5 m de large hors-œuvre. L’épaisseur des murs du chevet varie entre 1,20 m (à l’est) et 1,60 m (murs nord et sud). La fouille a permis de retrouver une petite crypte de 3,5 m de largeur pour 3,30 m de longueur, occupant le centre de l’abside et accessible par un escalier situé du côté nord. Les feuillures conservées d’une porte indiquent que l’on pouvait clore cette crypte.

Matériaux, techniques de construction et décor[modifier]

MATERIAUX ET TECHNIQUES DE CONSTRUCTION


Activité état d'avancement du chantier de (re)construction ou rénovation partielle
Murs et maçonnerie types de maçonneries, matériaux, mortier mis en oeuvre	Les maçonneries de ce premier état sont constituées de moellons calcaires allongés bien équarris et de dimensions variées. Les moellons les plus importants et les mieux travaillés appartiennent aux maçonneries des pieds droits de l’arc triomphal ou aux vestiges des arcatures. Dans le transept, des traces de joints ferrés ont pu être observés et pour l’absidiole sud la maçonnerie était identique en soubassement à celle décrite précédemment et implantée en profondeur dans un liant de mortier de chaux beige sableux.
Sol - pavement nature du sol, matériaux	Le sol de la crypte est en terre battue.
Couverture plafonds, toitures, voûtes	L’étude du bâti a montré que la travée droite du sanctuaire était, dès l’origine, en pierre en dépit d’une largeur importante. La voûte en plein cintre s’était tassée, une partie s’était effondrée, mais la restauration a pu conserver un tiers de la maçonnerie en place. La crypte, découverte lors de la fouille, possédait encore le départ de son voûtement très aplati du fait de la position du sanctuaire au-dessus d’elle.
Autres éléments structurels et architectoniques arcs, supports, portes, fenêtres	Un rang d’arcatures anime au niveau supérieur les murs latéraux du sanctuaire et de l’abside. Des colonnes et des chapiteaux appartenant à ce décor ont été retrouvés dans les maçonneries lors des restaurations récentes. Ces éléments ont été réutilisés pour restituer ou compléter les arcatures qui avaient été modifiées au court des temps.
Décor appliqué aux murs et maçonneries enduits peints ou non, mosaïques, placages

Installations liturgiques[modifier]

INSTALLATIONS LITURGIQUES


Cuve baptismale
Barrières
Autel
Loculus
Reliquaire
Ciborium
Pupitre
Ambon
Bénitier
Lavabo
Armoire
Siège
Supports
Traces encastrements, arrachements, usure

Sépultures

SEPULTURES

Emplacement et relation avec l'édifice ne prendre en compte que les sépultures "datantes"

Structure architecture de la tombe, taphonomie, dépôt funéraire
Inscriptions

INSCRIPTIONS

Description ne prendre en compte que les inscriptions "datantes"

OBJETS DISPERSES NON RATTACHABLES A L’ARCHITECTURE DE L’EGLISE

Description tout objet ayant appartenu à l'édifice et déplacé, permettant</br>* Soit, d'attester son existence,</br>* Soit, de renseigner ou de dater un de ses états

CONSIDERATIONS CRITIQUES SUR LES ETATS ET SUR LA CHRONOLOGIE

Chronologie et arguments de datation détailler état par état la fourchette de datation et le ou les arguments qui la justifient	État I : début du XIe siècle, 1020-1030 On ne sait rien de l’église mentionnée en 1013. La fouille n’a pas permis de retrouver des vestiges ; mais elle pouvait se trouver à proximité ou éventuellement plus à l’ouest. Les caractéristiques architecturales des parties conservées du chevet, avec ses trois absides, son transept et sa nef à trois vaisseaux avec ses piliers quadrangulaires (connus par les plans anciens avant destruction) concourent à situer l’ensemble au second quart du XIe siècle. Le décor des arcatures est, particulièrement des chapiteaux, attestent également par les comparaisons cette même période. Enfin, les donations connues par les chartes, dans ce début du XIe siècle, contribuent à voir dans cette église l’édifice établit par les moines de Saint-Bénigne après leur arrivée.
Interprétation
Comparaisons

Texte libre pour les données qui n'ont trouvé aucun refuge (dev only)

Résumé

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Date date de création de la fiche
Auteur auteur principal de la fiche
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Topographie[modifier]

Sources[modifier]

Contexte[modifier]

Fonction[modifier]

Etat i[modifier]

Architecture[modifier]

Matériaux, techniques de construction et décor[modifier]

Installations liturgiques[modifier]

Sépultures[modifier]

Inscriptions[modifier]

Etat i[modifier]

Architecture[modifier]

Matériaux, techniques de construction et décor[modifier]

Installations liturgiques[modifier]

Sépultures[modifier]

Inscriptions[modifier]

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