« CLERMONT-FERRAND, église Sainte-Marie-Principale » : différence entre les versions

De CARE (FR)
Aller à la navigation Aller à la recherche
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
 
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{Topographie
{{Topographie
|insee=63113
|insee=63113
|adresse=Rue Notre Dame du Port, Clermont-Ferrand
|adresse=Rue Notre Dame du Port, 63000 Clermont-Ferrand
|toponyme=Eglise Notre-Dame-du-Port
|proprietaire=Etat
|proprietaire=Etat
|protection=Classé Monument Historique en 1840
|protection=Cl. MH en 1840
|coordonates=45.78064, 3.08958
|coordonates=45.78064, 3.08958
|num_parc_cad_act=76
|num_parc_cad_act=76
|latitude=45.78064
|latitude=45.78064
|longitude=3.08958
|longitude=3.08958
|altitude=382.000
|altitude=382
}}
}}
{{Sources historiques
{{Sources historiques
|sources_indirectes=Libellus de ecclesiis Claromontanis, in Passiones vitaeque sanctorum aevi merovingici (V), texte établi par Krusch B. et LevisonW., MGH. SS rer. Merov. VII, Hanovre, 1913, p. 456-467, ici n° 2, p. 457.
|sources_epigraphiques=Prévot F., ''Recueil des inscriptions chrétiennes de la Gaule antérieures à la Renaissance carolingienne'', VIII, ''Aquitaine Première'', éditions du C.N.R.S., Paris, 1997.
|sources_archives=Le testament de l’évêque Étienne II (959)
|sources_indirectes=''Libellus de ecclesiis Claromontanis'', in ''Passiones vitaeque sanctorum aevi merovingici'' (V), texte établi par Krusch B. et Levison W., MGH. SS rer. Merov. VII, Hanovre, 1913, p. 456-467, ici n° 2, p. 457.
|bibliographie=Cabrero-ravel l., Notre-Dame-du-Port et la sculpture ornementale des églises d’Auvergne, les chapiteaux corinthiens et leurs dérivés (fin XIe-XIIe siècles), thèse de doctorat dirigée par Vergnolle E., Université de Franche-Comté, 1995.
 
Chevalier P., Gauthier F. avec des remarques de Prévot F., « Clermont », in Prévot F., Gaillard M. et Gauthier N. (dir.), Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle, XVI. Quarante ans d’enquête (1972-2012). 1. Images nouvelles des villes de la Gaule, éditions De Boccard, Paris, 2014, p. 81-86.
Cabrero-Ravel L., 1995, ''Notre-Dame-du-Port et la sculpture ornementale des églises d’Auvergne, les chapiteaux corinthiens et leurs dérivés (fin XIe-XIIe siècles)'', thèse de doctorat dirigée par Vergnolle E., Université de Franche-Comté.
Fournier P.-F., « Clermont-Ferrand au VIe siècle. Recherches sur la topographie de la ville », Bibliothèque de l’École des Chartes, 128, 1970, p. 273-344.
 
Morel D., Tailleurs de pierre, sculpteurs et maîtres d’œuvre dans le Massif central. Le monument et le chantier médiéval dans l’ancien diocèse de Clermont et les diocèses limitrophes (XIe-XVe siècles), Thèse de doctorat en Histoire de l’art et Archéologie, dirigée par Phalip B., Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand, 2009.
Phalip B., , 2001, ''Des terres médiévales en friches, pour une étude des techniques de construction et des productions artistiques montagnardes, l’exemple de l’ancien diocèse de Clermont. Face aux élites, une approche des simples et de leurs œuvres'', Mémoire d’H.D.R., Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand.
Phalip B., Des terres médiévales en friches, pour une étude des techniques de construction et des productions artistiques montagnardes, l’exemple de l’ancien diocèse de Clermont. Face aux élites, une approche des simples et de leurs œuvres, Mémoire d’H.D.R., Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand, 2001.
 
Prévot F., Barral-i-Altet X., Province ecclésiastique de Bourges (Aquitania Prima), Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle, VI, éditions De Boccard, Paris, 1989.
Morel D., 2009, ''Tailleurs de pierre, sculpteurs et maîtres d’œuvre dans le Massif central. Le monument et le chantier médiéval dans l’ancien diocèse de Clermont et les diocèses limitrophes (XIe-XVe siècles)'', Thèse de doctorat en Histoire de l’art et Archéologie, dirigée par Phalip B., Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand.
Prévot F., Recueil des inscriptions chrétiennes de la Gaule antérieures à la Renaissance carolingienne, VIII, Aquitaine Première, éditions du C.N.R.S., Paris, 1997.
|sources_archives=Le testament de l’évêque Étienne II (959).
Raphanel (abbé) « L’emplacement des églises de Clermont au Xe siècle », Bulletin Historique et Scientifique de l’Auvergne, 41, 1921, p. 107-116, 150-157, 172-186.
|bibliographie=Raphanel (abbé), 1921, « L’emplacement des églises de Clermont au Xe siècle », ''Bulletin Historique et Scientifique de l’Auvergne'', 41, p. 107-116, 150-157, 172-186.
 
Fournier P.-F., 1970, « Clermont-Ferrand au VIe siècle. Recherches sur la topographie de la ville », ''Bibliothèque de l’École des Chartes'', 128, p. 273-344.
 
Prévot F., , 1989, "Clermont", dans Prévot F. et Barral-i-Altet X., ''Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle'', VI, ''Province ecclésiastique de Bourges (Aquitania Prima)'', éditions De Boccard, Paris.
 
Chevalier P., Gauthier F. avec des remarques de Prévot F., 2014, « Clermont », in Prévot F., Gaillard M. et Gauthier N. (dir.), ''Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle'', XVI. ''Quarante ans d’enquête (1972-2012). 1. Images nouvelles des villes de la Gaule'', éditions De Boccard, Paris, p. 81-86.
|conservation=L’église romane correspond à un chantier de construction engagé à la fin du XIe siècle.
|conservation=L’église romane correspond à un chantier de construction engagé à la fin du XIe siècle.
|titulature_actuelle=Notre-Dame-du-Port
|titulature_actuelle=Notre-Dame-du-Port
Ligne 29 : Ligne 34 :
}}
}}
{{Contexte
{{Contexte
|description=L'édifice se situe sur le versant nord-est de la butte centrale de Clermont-Ferrand, l'édifice correspond à un chantier de construction engagé au XIe siècle.
|description=L'édifice disparu se situait sur le versant nord-est de la butte centrale de Clermont, ''extra muros''.
|structures_anterieures=Une aire funéraire se développait aux abords de (voire sous) l’actuelle église romane.
|structures_anterieures=Une aire funéraire peut-être antérieure à l'église primitive se développait aux abords de (voire sous) l’actuelle église romane.
}}
}}
{{Fonction
{{Fonction
|description=Édifice religieux
|description=Église suburbaine devenue collégiale au cours du haut Moyen Âge
}}
}}
{{Informations générales
{{Informations générales
|description=L’église romane se situe sur le versant nord-est de la butte centrale de Clermont-Ferrand et correspond à un chantier de construction engagé à la fin du XIe siècle. Une aire funéraire se développait aux abords de (voire sous) l’actuelle église; trois plaques funéraires en marbre blanc ont été trouvées dont une comportant une épitaphe.
|description=L’église romane qui a remplacé l'église primitive disparue, correspond à un chantier de construction engagé à la fin du XIe siècle.
}}
}}
{{Etat
{{Etat
|etat=I
|etat=I
|plan=Plan inconnu
|plan=Plan inconnu
|parties=Edifice disparu.
|activite=Construction (disparue)
|emplacement=Une aire funéraire se développait aux abords de (voire sous) l’actuelle église romane.
|emplacement=Une aire funéraire se développait aux abords de (voire sous) l’actuelle église romane.
|description_inscription=Trois plaques funéraires en marbre blanc. Celle découverte en 1883 est surmontée d’une triple tige de fleurs encadrée par deux colombes. L’épitaphe célèbre la mémoire d’un certain Remesto : "Hic requiescit bone memorie Remesto. Vixit in pace annus XLIII transiet sud d(ie) VI idus februar(ia)s, annu XVI regno d(o)m(in)i Theudoberti "
|structure=Des sarcophages en trachyte ont été découvert au nord et devant la façade sud de l'église en 1883, l'un de ces derniers comportait encore une plaquette de marbre inscrite incrustrée dans son couvercle (épitaphe de Remesto).
}}
|description_inscription=Trois plaques funéraires en marbre blanc. L’une des épitaphes célèbre la mémoire d’un certain Remesto : ''Hic requiescit bone memorie Remesto. Vixit in pace annus XLIII transiet sub d(ie) VI idus februar(ia)s, annu XVI regno d(o)m(in)i Theudoberti'' (RICG VIII, 24) ; l'inscription est surmontée d’une triple tige de fleurs encadrée par deux colombes. La deuxième (RICG VIII, 30), également datée du règne Théodebert II (595-612), a été regravée avant l'époque carolingienne selon l'écriture d'une invocation à la mémoire de saint Privat. Un dernier fragment plus petit et mentionnant seulement l'âge du défunt provient des reins de la voûte romane du vaisseau principal de la nef où il était remployé jusqu'en 2006.
{{Objets dispersés
|description=Les auteurs de la Topographie chrétienne des cités de la Gaule signalent la découverte, en 2006-2008, d’un fragment d’épitaphe mérovingienne dans les voûtes du vaisseau principal de la nef.
}}
}}
{{Objets dispersés}}
{{Considérations critiques
{{Considérations critiques
|chronologie=VIIe siècle: épitaphes et présence du corps de Saint Avit
|chronologie=Etat I : VIe-VIIe siècles, comme en témoignent les épitaphes et la présence du corps de saint Avit. Le culte de saint Privat, martyr du Gévaudan, pourrait s'y être établi avant le VIIIe s.


Xe siècle: mentions dans le testament de 959 et dans le Libellus de ecclesiis Claromontanis
Les premières attestations textuelles se font au Xe siècle: mentions dans le testament de 959 et, avec l'autel Saint-Privat, dans le ''Libellus de ecclesiis Claromontanis''.
|interprétation=Eglise mérovingienne localisée à l’extérieur de l’enceinte de la ville haute. Elle se situait non loin d’un autre lieu de culte dédié à saint Laurent. L’église Sainte-Marie-Principale tenait une place importante dans la liturgie clermontoise, du moins dans la deuxième moitié du Xe siècle, comme le suggère sa position dans le Libellus de ecclesiis Claromontanis.
|interprétation=Eglise mérovingienne suburbaine, localisée à l’extérieur de l’enceinte de la ville haute. Elle se situait non loin d’un autre lieu de culte dédié à saint Laurent. L’église Sainte-Marie-Principale tenait une place importante dans la liturgie clermontoise, du moins dans la deuxième moitié du Xe siècle, comme le suggère sa position dans le ''Libellus de ecclesiis Claromontanis''.
}}
}}


{{System
{{System
|date_fiche=janvier 1, 1970
|date_fiche=mai 2, 2017
|auteur=Pchevalier
|auteur=Pchevalier
|statut_fiche=2. En cours de saisie
|statut_fiche=5. Fiche validée
|qualite_fiche=1. Fiable
|qualite_fiche=1. Fiable
}}
}}

Version actuelle datée du 2 mai 2017 à 21:19

Données

Topographie

{{#display_map:45.78064,3.08958|width=400|height=300|service=osm|zoom=18}}

Pays
Région
Département
Commune
Insee 63113
Adresse/Lieu-dit Rue Notre Dame du Port, 63000 Clermont-Ferrand
Toponyme
Propriétaire Etat
Protection de l'édifice Cl. MH en 1840
Références cartographiques
Numéro parcellaire sur le Cadastre actuel 76
Latitude 45.78064
Longitude 3.08958
Altitude 382

[[Catégorie:]]

[[Catégorie:]]

[[Catégorie:]]

[[Catégorie:]]


Sources historiques et identification

Sources epigraphiques

Prévot F., Recueil des inscriptions chrétiennes de la Gaule antérieures à la Renaissance carolingienne, VIII, Aquitaine Première, éditions du C.N.R.S., Paris, 1997.

Sources indirectes

Libellus de ecclesiis Claromontanis, in Passiones vitaeque sanctorum aevi merovingici (V), texte établi par Krusch B. et Levison W., MGH. SS rer. Merov. VII, Hanovre, 1913, p. 456-467, ici n° 2, p. 457.

Cabrero-Ravel L., 1995, Notre-Dame-du-Port et la sculpture ornementale des églises d’Auvergne, les chapiteaux corinthiens et leurs dérivés (fin XIe-XIIe siècles), thèse de doctorat dirigée par Vergnolle E., Université de Franche-Comté.

Phalip B., , 2001, Des terres médiévales en friches, pour une étude des techniques de construction et des productions artistiques montagnardes, l’exemple de l’ancien diocèse de Clermont. Face aux élites, une approche des simples et de leurs œuvres, Mémoire d’H.D.R., Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand.

Morel D., 2009, Tailleurs de pierre, sculpteurs et maîtres d’œuvre dans le Massif central. Le monument et le chantier médiéval dans l’ancien diocèse de Clermont et les diocèses limitrophes (XIe-XVe siècles), Thèse de doctorat en Histoire de l’art et Archéologie, dirigée par Phalip B., Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand.

Sources d'archives

Le testament de l’évêque Étienne II (959).

Sources Bibliographie

Raphanel (abbé), 1921, « L’emplacement des églises de Clermont au Xe siècle », Bulletin Historique et Scientifique de l’Auvergne, 41, p. 107-116, 150-157, 172-186.

Fournier P.-F., 1970, « Clermont-Ferrand au VIe siècle. Recherches sur la topographie de la ville », Bibliothèque de l’École des Chartes, 128, p. 273-344.

Prévot F., , 1989, "Clermont", dans Prévot F. et Barral-i-Altet X., Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle, VI, Province ecclésiastique de Bourges (Aquitania Prima), éditions De Boccard, Paris.

Chevalier P., Gauthier F. avec des remarques de Prévot F., 2014, « Clermont », in Prévot F., Gaillard M. et Gauthier N. (dir.), Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle, XVI. Quarante ans d’enquête (1972-2012). 1. Images nouvelles des villes de la Gaule, éditions De Boccard, Paris, p. 81-86.

Conservation

L’église romane correspond à un chantier de construction engagé à la fin du XIe siècle.

Titulature actuelle

Notre-Dame-du-Port

Titulature historique

Sainte-Marie-Principale

Diocèse actuel

Clermont-Ferrand

Diocèse historique

Clermont


Contexte d’implantation

Description

L'édifice disparu se situait sur le versant nord-est de la butte centrale de Clermont, extra muros.

Structures antérieures

Une aire funéraire peut-être antérieure à l'église primitive se développait aux abords de (voire sous) l’actuelle église romane.


Fonction

Description

Église suburbaine devenue collégiale au cours du haut Moyen Âge


Informations générales

Description [[Image:{{{PlanGeneral}}}|thumb|right|border|135px|Évolution du plan]]

L’église romane qui a remplacé l'église primitive disparue, correspond à un chantier de construction engagé à la fin du XIe siècle.

CLERMONT-FERRAND, église Sainte-Marie-Principale (Galerie d'images)|


Articulation en états

Etat I

Etat I
EmptyData.png Architecture

Plan

Plan inconnu

Parties

Edifice disparu.

Matériaux et techniques de construction

Activité

Construction (disparue) EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png

Installations liturgiques

EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png

Sépultures

Emplacement

Une aire funéraire se développait aux abords de (voire sous) l’actuelle église romane.

Structure

Des sarcophages en trachyte ont été découvert au nord et devant la façade sud de l'église en 1883, l'un de ces derniers comportait encore une plaquette de marbre inscrite incrustrée dans son couvercle (épitaphe de Remesto).

Inscriptions

Description

Trois plaques funéraires en marbre blanc. L’une des épitaphes célèbre la mémoire d’un certain Remesto : Hic requiescit bone memorie Remesto. Vixit in pace annus XLIII transiet sub d(ie) VI idus februar(ia)s, annu XVI regno d(o)m(in)i Theudoberti (RICG VIII, 24) ; l'inscription est surmontée d’une triple tige de fleurs encadrée par deux colombes. La deuxième (RICG VIII, 30), également datée du règne Théodebert II (595-612), a été regravée avant l'époque carolingienne selon l'écriture d'une invocation à la mémoire de saint Privat. Un dernier fragment plus petit et mentionnant seulement l'âge du défunt provient des reins de la voûte romane du vaisseau principal de la nef où il était remployé jusqu'en 2006.



Considérations critiques sur les états et sur la chronologie

Chronologie

Etat I : VIe-VIIe siècles, comme en témoignent les épitaphes et la présence du corps de saint Avit. Le culte de saint Privat, martyr du Gévaudan, pourrait s'y être établi avant le VIIIe s.

Les premières attestations textuelles se font au Xe siècle: mentions dans le testament de 959 et, avec l'autel Saint-Privat, dans le Libellus de ecclesiis Claromontanis.

Interprétation

Eglise mérovingienne suburbaine, localisée à l’extérieur de l’enceinte de la ville haute. Elle se situait non loin d’un autre lieu de culte dédié à saint Laurent. L’église Sainte-Marie-Principale tenait une place importante dans la liturgie clermontoise, du moins dans la deuxième moitié du Xe siècle, comme le suggère sa position dans le Libellus de ecclesiis Claromontanis.



Informations sur la publication

Date mai 2, 2017
Auteur Pchevalier Fiche personnelle
Statut de la fiche 5. Fiche validée
Qualité de la fiche {{#paper_quality:1. Fiable}}
Récupérée de « https://care.huma-num.fr/care/index.php?title=CLERMONT-FERRAND,_église_Sainte-Marie-Principale&oldid=2833 »