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La basilique dédiée au martyr Antolianus aurait été édifiée entre 515 et 525 par l’épouse (Placidina) et par la sœur (Alchima) d’Apollinaire, fils de Sidoine Apollinaire. Une fois l’édifice achevé, un ciborium est édifié au-dessus de l’autel. La voûte était par ailleurs ornée de peintures. : Erectis tamen parietibus, super altare aedis illius turrem ac columnis Pharis Heracliisque transvolutis arcubus erexerunt, miram camerae fucorum diversitatibus imaginatam adhibentes picturam. Le lieu de culte a fait l’objet de réfections entreprises par l’évêque Avit Ier. Cet édifice a probablement reçu, au VIIe siècle, la tombe de l’évêque Gallus II (v. 650-v. 656). Celle-ci a peut-être engendré un changement de titulature de l’édifice, si bien qu’au Xe siècle, le Libellus de ecclesiis Claromontanis mentionne une église Saint-Gall dans laquelle reposent les corps des saints Antolianus et Gallus (à moins que le corps d’Antolianus n’ait été transféré dans une église dédiée à saint Gall avant cette date).
 
|sources_archeologiques=l’édifice fait l’objet d’une notice dans la Topographie chrétienne des cités de la Gaule (Prévot F. et Barral-i-Altet X. 1989, p. 35, puis Chevalier P. et Gauthier F. 2014, p. 85). Des vestiges identifiés à la basilique du VIe siècle ont été découverts en 2005- 2006, sur une parcelle longée par la rue Sainte-Georges et située en face de l’établissement Saint-Alyre (Alfonso G. 2006, p. 86 ; Gauthier F. 2007, p. 84-85). Une maçonnerie associée à des sols en mortier de tuileau est interprétée comme le mur gouttereau nord de l’édifice. Le bâtiment était bordé au nord par une aire funéraire caractérisée par trois rangées de sarcophages trapézoïdaux en trachyte. Le bâtiment aurait été abandonné à la fin de la période carolingienne.
''Libellus de ecclesiis Claromontanis'', in ''Passiones vitaeque sanctorum aevi merovingici'' (V), texte établi par Krusch B. et Levison W., MGH. SS rer. Merov. VII, Hanovre, 1913, p. 456- 467, ici n° 8, p. 459.
|bibliographie=Grégoire de Tours, Liber in gloria Martyrum, 64, in Teil II. Miracula et opera minora, I, texte établi par Krusch B., MGH. SS rer. Merov. I, 2, Hanovre, 1885, « De eodem, et de sepulchro Vitalinae virginis », p. 531-532.
|bibliographie=Prévot F., 1989, "Clermont", dans Prévot F., Barral-i-Altet X., ''Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle'', VI, ''Province ecclésiastique de Bourges (Aquitania Prima)'', éditions De Boccard, Paris, p. 35.
Libellus de ecclesiis Claromontanis, in Passiones vitaeque sanctorum aevi merovingici (V), texte établi par Krusch B. et LevisonW., MGH. SS rer. Merov. VII, Hanovre, 1913, p. 456- 467, ici n° 8, p. 459.
 
Alfonso G., « Clermont-Ferrand, 8-10 rue Sainte-Georges », Bilan Scientifique Régional de l’Auvergne, DRAC-SRA, 2006, p. 86.
Alfonso G., 2006, « Clermont-Ferrand, 8-10 rue Sainte-Georges », ''Bilan Scientifique Régional de l’Auvergne'', DRAC-SRA, 2006, p. 86.
Chevalier P., Gauthier F. avec des remarques de Prévot F., « Clermont », in Prévot F., Gaillard M. et Gauthier N. (dir.), Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle, XVI. Quarante ans d’enquête (1972-2012). 1. Images nouvelles des villes de la Gaule, éditions De Boccard, Paris, 2014, p. 81-86.
 
Gauthier F., « Clermont-Ferrand, 8-10 rue Sainte-Georges », Bilan Scientifique Régional de l’Auvergne, DRAC-SRA, 2007, p. 84-85.
Gauthier F., 2007, « Clermont-Ferrand, 8-10 rue Sainte-Georges », ''Bilan Scientifique Régional de l’Auvergne'', DRAC-SRA, p. 84-85.
Prévot F., Barral-i-Altet X., Province ecclésiastique de Bourges (Aquitania Prima), Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle, VI, éditions De Boccard, Paris, 1989.
 
Chevalier P., Gauthier F. avec des remarques de Prévot F., 2014, « Clermont », in Prévot F., Gaillard M. et Gauthier N. (dir.), ''Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle'', XVI. ''Quarante ans d’enquête (1972-2012). 1. Images nouvelles des villes de la Gaule'', éditions De Boccard, Paris, p. 81-86, ici p. 85.
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|chronologie=Mention dans l’œuvre de Grégoire de Tours et mention dans le ''Libellus de ecclesiis Claromontanis''.
La basilique dédiée au martyr Antolianus a été édifiée entre 515 et 525 par l’épouse (Placidina) et par la sœur (Alchima) d’Apollinaire, fils de Sidoine Apollinaire.
Le lieu de culte a fait l’objet de réfections entreprises par l’évêque Avit Ier. Cet édifice a probablement reçu, au VIIe siècle, la tombe de l’évêque Gallus II (v. 650-v. 656). Celle-ci a vraisemblablement engendré un changement de titulature de l’édifice, si bien qu’au Xe siècle, le ''Libellus de ecclesiis Claromontanis'' mentionne dans ce même secteur une église Saint-Gall où reposent les corps des saints Antolianus et Gallus (à moins de considérer que le corps d’Antolianus n’ait été transféré dans une église dédiée à saint Gall avant cette date).
|interprétation=La basilique funéraire est construite dans le ''vicus christianorum''. Son évolution au cours du haut Moyen Âge est incertaine. L'édifice était déjà dans un état vétuste au temps de Grégoire de Tours, mais on ne connait pas encore la/les date/s de sa disparition. Le bâtiment fouillé aurait été abandonné à la fin de la période carolingienne. Cependant, l'église devenue Saint-Gall paraît être encore en fonction au Xe s.
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Version actuelle datée du 2 mai 2017 à 21:21

Données

Topographie

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Pays
Région
Département
Commune
Insee 63113
Adresse/Lieu-dit 8 Rue Sainte-George, 63000, Clermont-Ferrand
Toponyme
Propriétaire
Protection de l'édifice
Références cartographiques
Numéro parcellaire sur le Cadastre actuel
Latitude 45.78343
Longitude 3.08225
Altitude 372

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Sources historiques et identification

Sources indirectes

Grégoire de Tours, Liber in gloria Martyrum, 64, in Teil II. Miracula et opera minora, I, texte établi par Krusch B., MGH. SS rer. Merov. I, 2, Hanovre, 1885, « De eodem, et de sepulchro Vitalinae virginis », p. 531-532.

Libellus de ecclesiis Claromontanis, in Passiones vitaeque sanctorum aevi merovingici (V), texte établi par Krusch B. et Levison W., MGH. SS rer. Merov. VII, Hanovre, 1913, p. 456- 467, ici n° 8, p. 459.


Sources Bibliographie

Prévot F., 1989, "Clermont", dans Prévot F., Barral-i-Altet X., Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle, VI, Province ecclésiastique de Bourges (Aquitania Prima), éditions De Boccard, Paris, p. 35.

Alfonso G., 2006, « Clermont-Ferrand, 8-10 rue Sainte-Georges », Bilan Scientifique Régional de l’Auvergne, DRAC-SRA, 2006, p. 86.

Gauthier F., 2007, « Clermont-Ferrand, 8-10 rue Sainte-Georges », Bilan Scientifique Régional de l’Auvergne, DRAC-SRA, p. 84-85.

Chevalier P., Gauthier F. avec des remarques de Prévot F., 2014, « Clermont », in Prévot F., Gaillard M. et Gauthier N. (dir.), Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle, XVI. Quarante ans d’enquête (1972-2012). 1. Images nouvelles des villes de la Gaule, éditions De Boccard, Paris, p. 81-86, ici p. 85.

Conservation

L'édifice a disparu.

Titulature historique

Saint-Antolien puis Saint-Gall (entre le VIe et le Xe s.)

Diocèse actuel

Clermont-Ferrand

Diocèse historique

Clermont


Contexte d’implantation

Description

L’édifice se situait au nord-ouest de la butte centrale de Clermont, sur les bords de la Tiretaine, dans le vicus christianorum. Des vestiges identifiés à la basilique du VIe siècle ont été découverts en 2005- 2006, sur une parcelle longée par la rue Sainte-George et située en face de l’établissement Saint-Alyre.

Structures antérieures

L’église s’implante dans un quartier suburbain encore mal connu archéologiquement de la ville d’Augustonemetum, où des zones artisanales alternaient avec des aires funéraires.


Fonction

Description

Basilique funéraire, martyriale, avec des inhumations ad sanctos.


Informations générales

Description [[Image:{{{PlanGeneral}}}|thumb|right|border|135px|Évolution du plan]]

Basilique suburbaine disparue de fonction funéraire et martyriale.

CLERMONT-FERRAND, église Saint-Antolien (Galerie d'images)|


Articulation en états

Etat I

Etat I
EmptyData.png Architecture

Plan

Plan longitudinal

Parties

Grégoire de Tours évoque un templum probablement basilical, qui comportait une tour(-lanterne ?) au-dessus de l'autel.

Matériaux et techniques de construction

Activité

Construction.

Maçonnerie

Une maçonnerie orientée ouest/est, épaisse de 0,65 m, est interprétée comme le mur gouttereau nord de l’édifice. Ce mur construit en moellons d'arkose et de pierres volcaniques était enduit intérieurement de mortier de chaux. Il était bordé à l'extérieur par un large caniveau.

Sol

L'intérieur (de la nef ?) était couvert d'un sol en mortier de tuileau qui a été refait une fois selon les mêmes modalités. EmptyData.png

Autres

La turris évoquée par Grégoire de Tours, au-dessus de l'autel, également nommée machina, est généralement interprétée comme une tour-lanterne partiellement construite en bois. Son ampleur est difficile à imaginer. Ses arcs étaient soutenus par des colonnes en marbre de Paros et d’Héraclée : Erectis tamen parietibus, super altare aedis illius turrem ac columnis Pharis Heracliisque transvolutis arcubus erexerunt... - s'il ne s'agissait pas des colonnades de la nef.

Décor

L'église était ornée de peintures pour certaines figurées : ... miram camerae fucorum diversitatibus imaginatam adhibentes picturam.""

Installations liturgiques

Cuve baptismale

La basilique est située à proximité du baptistère du vicus christianorum dont l’existence est attestée au VIe siècle par Grégoire de Tours. Toutefois rien n'indique une relation entre les deux édifices. EmptyData.png

Autel

L’autel est cité par Grégoire de Tours mais non décrit. EmptyData.png EmptyData.png

Ciborium

La tour(-lanterne ?) édifiée au-dessus de l’autel a parfois été interprétée comme un ciborium, porté par des colonnes de marbre. Cette hypothèse est difficile à soutenir. EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png

Sépultures

Emplacement

Une aire funéraire se développait au nord du bâtiment identifié à la basilique Saint-Antolien.

Structure

Au moins trois rangées de sarcophages trapézoïdaux en trachyte, étaient alignées contre le caniveau bordant le mur. Ces sépultures ne représentent qu'une partie de l'ensemble, fouillé dans le cadre de l'archéologie préventive.

Inscriptions

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Considérations critiques sur les états et sur la chronologie

Chronologie

Mention dans l’œuvre de Grégoire de Tours et mention dans le Libellus de ecclesiis Claromontanis. La basilique dédiée au martyr Antolianus a été édifiée entre 515 et 525 par l’épouse (Placidina) et par la sœur (Alchima) d’Apollinaire, fils de Sidoine Apollinaire. Le lieu de culte a fait l’objet de réfections entreprises par l’évêque Avit Ier. Cet édifice a probablement reçu, au VIIe siècle, la tombe de l’évêque Gallus II (v. 650-v. 656). Celle-ci a vraisemblablement engendré un changement de titulature de l’édifice, si bien qu’au Xe siècle, le Libellus de ecclesiis Claromontanis mentionne dans ce même secteur une église Saint-Gall où reposent les corps des saints Antolianus et Gallus (à moins de considérer que le corps d’Antolianus n’ait été transféré dans une église dédiée à saint Gall avant cette date).

Interprétation

La basilique funéraire est construite dans le vicus christianorum. Son évolution au cours du haut Moyen Âge est incertaine. L'édifice était déjà dans un état vétuste au temps de Grégoire de Tours, mais on ne connait pas encore la/les date/s de sa disparition. Le bâtiment fouillé aurait été abandonné à la fin de la période carolingienne. Cependant, l'église devenue Saint-Gall paraît être encore en fonction au Xe s.



Informations sur la publication

Date mai 2, 2017
Auteur Pchevalier Fiche personnelle
Statut de la fiche 5. Fiche validée
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