ALISE-SAINTE-REINE, basilique Sainte-Reine

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Données

Topographie

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Insee <tag property="Topographie[insee]" value="21008">21008</tag>
Adresse/Lieu-dit agglomération antique, Alésia
Toponyme
Propriétaire Conseil général de la Côte-d’Or
Protection de l'édifice Cl. M.H. 26.01.1925
Références cartographiques
Numéro parcellaire sur le Cadastre actuel
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Longitude <tag property="Topographie[longitude]" value="4.49912">4.49912</tag>
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Sources historiques et identification

Sources indirectes

Martyrologe hiéronymien. In Acta sanctorum…, Novembris, t. II-2, p. 453.

Vita sancti Amatoris. In Acta sanctorum …, Maii, t. I, p. 59.

Vita sancti Germani. In Monumenta Germaniae historica, Scriptores rerum merovingacarum, t. VII, p. 267.

Vita sanctae Reginae. In Acta sanctorum…, Septembris, t. II-2, p. 493.

De Lyon C., 1965, « Mention d’Alise (in alesiensi loco), in la Vita S. Germani, et d’un prêtre nommé Senateur », Vie de saint Germain d’Auxerre, Paris, p. 164-165.

Le Gal J., 1973, Alésia : textes littéraires, Dijon, p. 101.


Sources Bibliographie

Reinachs S., 1913, « La prétendue “basilique de Sainte-Reine” », Revue archéologique, 12, p. 287-290.

Leclercq H., 1934, « Mont-Auxois », D.A.C.L., t. 11, col. ****.

Toutain J., 1914, « La basilique primitive et le plus ancien culte de sainte Reine à Alésia », Revue de l’histoire des religions, p. 207-227.

Toutain J., 1927, « Notes et documents sur la basilique de Sainte-Reine à Alésia », in Quatrième congrès de l’Association bourguignonne des sociétés savantes tenu à Langres les 18, 19 et 20 juin 1926, Langres, p. 26-27.

Toutain J., 1929, « La basilique primitive de Sainte-Reine sur le Mont Aussois », Pro Alesia, 51-52, p. 1-25.

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Le Gall J., 1966, Un service eucharistique du IVe siècle à Alésia, Paris, p. 613-628.

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Marilier J., 1970-1971, « Testamentum Wideradi coenobii Flaviniacensis Abbatis », Mélanges Chevrier, t. 2, 1970-1971 (MSHDB, 30), p. 57-72.

Demongeot M., 1972, La basilique Sainte-Reine et ses abords à Alesia, mémoire de maîtrise, sous la dir. de J. Le Gall, université de Bourgogne, Dijon.

Le Gall J., Saint-Denis E. et Weil R., 1973, Alésia : textes littéraires antiques, Textes médiévaux par J. Marilier, Paris.

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Lafaurie J., 1983, « Trésor de monnaies du VIe siècle découvert à Alise-Sainte-Reine en 1804 », Revue numismatique, 25, p. 101-178.

Rabeisen E., 1983, « Découverte à l’ouest du cimetière communal d’Alise », La Tour de l’Orle d’Or, 1, p. 17-21.

Le Gall J., 1985, Alésia : le siège de la forteresse gauloise par César, la ville gallo-romaine, le culte de sainte Reine, Paris.

Wahlen P., 1986, « La basilique Sainte-Reine : sondages dans l’annexe est [043] », La Tour de l’Orle d’Or, 1, p. 17-23.

Baratte F., 1989, « Trouvaille d’Aise-Sainte-Reine », in Trésors d’orfèvrerie gallo-romaine, Paris, p. 272-275.

Le Gall J., 1990, Alésia : archéologie et histoire, 3e éd., Paris.

Wahlen P., 1993, « Alésia : la basilique mérovingienne », Mémoire de la Commission des antiquités du département de la Côte-d’Or, 35 (1987-1989), p. 81-83.

Wahlen P., 1993, Alésia, la basilique Sainte-Reine, mémoire de DEA, 2 vol., université de Lyon 2.

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Wahlen P., 1994, « Alésia (Côte-d'Or) : la basilique Sainte-Reine », Archéologie médiévale, 24, p. 416-417.

Wahlen P., 1996, « Alésia : la basilique Sainte-Reine et la chapelle Saint-Léger », Mémoires de la Commission des antiquités du département de la Côte-d’Or, 36 (1990-1992), p. 127-131.

Boutry P. et Julia D. (dir.), 1997, Reine au Mont Auxois : le culte et le pèlerinage de sainte Reine des origines à nos jours, Dijon.

Sapin C. avec la collab. de Wahlen P., 1998, « Alise Sainte-Reine : basilique présumée de Sainte-Reine », in Les premiers monuments chrétiens de la France, t. 3 (Ouest, Nord et Est), Paris, p. 49-54.

Wahlen P., 2010, «  À propos d’un verre peint trouvé à Alésia (Côte d’Or) », in S. Balcon-Berry, F. Perrot et C. Sapin (dir.), Vitrail, verre et archéologie entre le IVe et le XIIe siècle, Paris, p. 62-63.


Titulature historique

Sainte-Reine

Diocèse actuel

Dijon

Diocèse historique

Autun


Contexte d’implantation

Description

L’édifice étudié, l’église dite « basilique Sainte-Reine », a été mis au jour lors de fouilles du Mont-Auxois. Il était implanté sur les ruines de l’agglomération gallo-romaine, au centre d’une nécropole mérovingienne. Les structures trouvées en fouille sont visibles lors de la visite du site.



Fonction

Bâtiment

<tag property="Fonction[batiment]" value="Basilique">Basilique</tag>

Description

Funéraire


Informations générales

Description [[Image:{{{PlanGeneral}}}|thumb|right|border|135px|Évolution du plan]]

L’édifice trouvé en fouille a été identifié à la basilique construite pour abriter le corps de Reine, jeune martyre d’Alésia au IIIe siècle. Au VIIIe siècle, en 719, le testament de Waré, fondateur de l’abbaye de Flavigny, mentionne Alise comme monasterium… sancte Regine martyris et dans le texte de donation du même Waré, daté de 721, il est fait mention de la basilica domne Regine, « basilique de sainte Reine ». Le corps de sainte Reine y est conservé jusqu’à son transfert à l’abbaye de Flavigny en 866.

Les premières recherches archéologiques du secteur ont été entreprises en 1906 sous la direction de Victor Pernet. Dès cette année, ce dernier découvre une série de sarcophages mérovingiens en pierre. En 1913-1914, une partie du sanctuaire est mise au jour. En 1922 et 1923, sous la direction de Gustave Point, on dégage et fouille complètement l’édifice, ainsi qu’une partie des locaux périphériques, alors baptisés «  annexes » (cf. 1923, rapport de fouilles de Jules Toutain). Les fouilles reprennent de 1985 à 1993 dans le cadre d’un programme placé sous la responsabilité de Patrice Wahlen et destiné à préciser les phases chronologiques de cet ensemble, jusqu’alors daté « du VIIe siècle », ainsi que la fonction exacte de ces « annexes ».

ALISE-SAINTE-REINE, basilique Sainte-Reine (Galerie d'images)


Articulation en états

Etat I

Etat I
Plan à l'état I
Architecture

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Parties

La basilique, orientée nord-ouest - sud-est, était constituée d’une nef rectangulaire et d’un chœur de moindre largeur. Elle mesurait intérieurement 22,20 m de long sur 9 m de large ; en tenant compte de l’épaisseur des murs, qui oscille autour des 0,50/0,70 m, on atteint les 23,90 m de longueur pour 10,60 m de largeur en mesures extérieures.

Matériaux et techniques de construction

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Maçonnerie

Si les murs de moellons de la nef ne sont plus conservés qu’en fondation, ceux du chœur, du couloir et des annexes ont gardé leur élévation sur plusieurs rangs. Ils sont construits en petit appareil régulier et de bonne facture. Les pierres de grand appareil, qui servent au chaînage des angles de la nef, proviennent de constructions antiques ; ces réemplois ne semblent concerner que les fondations de la basilique ; des traces de mortier, servant à lier les moellons, ont été mentionnées dans les rapports de fouilles.

Sol

Sur le sol de la nef, des fragments de « mosaïque » ont été dégagés en 1913 et 1923. Selon Jules Toutain, cette mosaïque dessinait sur le sol une croix, dont le centre aurait correspondu à l’emplacement de l’autel dont subsistait des pierres de soubassement ; elle se composait de tesselles de terre cuite assez irrégulières, de 0,10 m à 0,40 m, noyées dans un béton de tuileau de 0,50 m d’épaisseur. EmptyData.png EmptyData.png

Décor

Dans son rapport de fouilles de 1923, Jules Toutain signale la présence de « fragments de plâtre peints aux tons assez vifs, dans les nuances jaune, vert, rouge et marron ». De nombreux autres éléments, blancs et polychromes, ont été retrouvés dans la campagne de fouille du chœur (1985-1993), au milieu d’une quinzaine de fragments de dallettes de marbre ou de calcaire poli, éléments de sol ou de décor mural aux tons beige-rosé, gris-noir ou bien vert foncé. Dans ces dernières fouilles ont été également mis au jour des éléments lapidaires, fragments de décor à entrelacs, qui ne sont pas sans évoquer chancels ou ambons, fragments de claustra de fenêtres ou de décor de marbre à registre de cercles oculés gravés.

Installations liturgiques

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Autel

Les quelques dalles découvertes en 1913 par V. Pernet, dans la partie orientale de ce qui s’avère aujourd’hui être la nef de l’édifice, avaient été alors interprétées comme le soubassement d’un autel. Elles occupaient le centre d’une croix en mosaïque, mais n’étaient plus en place lors de la reprise des fouilles en 1985. EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png

Sépultures

Emplacement

Les sépultures ont pu commencer à s’implanter lors de ce premier état, mais leurs caractéristiques les situent essentiellement dans l’état II. EmptyData.png

Inscriptions

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Etat II

Etat II
Plan à l'état II
Architecture

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Parties

L’édifice est élargi par un couloir de 2,60 m de large (mesure interne) au nord et à l’ouest.

Matériaux et techniques de construction

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Maçonnerie

Le mur de rangs irréguliers possède des moellons de taille souvent plus grossière que dans l’état I. EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png

Installations liturgiques

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Sépultures

Emplacement

La nécropole implantée autour de la basilique s’étend sur 8 m au nord, en direction du théâtre antique, 33 m à l’est et 70 m à l’ouest. Au sud, elle occupe tout l’« atrium » et semble, d’après les découvertes anciennes, se prolonger de l’autre côté du chemin du Mont-Auxois. Environ 250 individus ont été exhumés depuis la fin du XIXe siècle, dont 110 dans et immédiatement autour de la basilique au cours des travaux de 1985-1993. Près de 72 sarcophages ont été inventoriés, entiers ou partiellement conservés, dont 47 dans ou tout près de la basilique : 11 dans la nef, 11 dans le couloir funéraire occidental, 4 dans le couloir funéraire septentrional, 2 dans l’annexe nord du chœur, deux dans l’annexe sud du chœur, 19 dans l’« atrium » méridional. Situé au centre de la nef, un grand sarcophage découvert en 1913 passait pour avoir été celui de sainte Reine, en raison d’un vaste trou circulaire percé en son couvercle et interprété comme un oculus ou une « fenestella » donnant accès aux reliques ; il s’agit en réalité d’un percement de violation de sépulture. Le mobilier issu des tombes « en pleine terre » ou des sarcophages est assez rare ; si les découvertes anciennes font état d’une épée, d’un scramasaxe, de vases carénés et une plaque-boucle damasquinée, l’essentiel de ce qui a été inventorié en 1985-1993 consiste en petites boucles, en bagues simples et épingles à doubles crochets ou fibules ansées symétriques, tous éléments en bronze et datés des VIe-VIIIe siècles. On note dans plusieurs cas la présence de fragments de chaîne (cf. infra). Un petit étui cylindrique en os reposait sur la poitrine d’un défunt inhumé près du chœur ; il pourrait s’agir d’un « pendentif-reliquaire ». Dès 1811, on mentionne, à l’occasion de découvertes fortuites, la présence de chaînes dans les tombes. Or, les six nouveaux sarcophages mis au jour en 1985-1993 possédaient tous, en fond de cuve et sur les parois, des traces très nettes de chaînes dont le métal oxydé s’était incrusté dans la pierre. Or, la chaîne constitue l’attribut majeur de sainte Reine ; celle de son martyre, conservé en l’abbaye de Flavigny, faisait jadis l’objet de la vénération des fidèles pèlerins.

Structure

Les sarcophages sont de formes trapézoïdales à cuve surbaissée. Le travail de la pierre à l’extérieur est assez homogène avec des variantes du décor de stries correspondant au type connu dit « bourguignon-champenois », daté des VIe et VIIe siècles. La plupart des inhumations dites « en pleine terre » présente des calages périphériques de pierres, souvent disposées de chant, indices de la présence de coffres de bois.

Inscriptions

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Etat III

Etat III
Plan à l'état III
Architecture

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Matériaux et techniques de construction

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Installations liturgiques

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Sépultures

Emplacement

Appartenant à la phase finale d’occupation des lieux, une sépulture sacerdotale, située dans l’annexe nord du chœur, recelait un calice et une patène funéraire en alliage de plomb, ornée en son centre de la « dextera Domini » bénissant ; la patène est dotée sur son marli de l’inscription « Oddo me fecit ». L’ensemble est daté du Xe siècle. EmptyData.png

Inscriptions

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Objets dispersés non rattachables à l'architecture de l'église

Liste des objets

Une pierre (moellon ?) trouvée en remblai présente une face ornée d’un chrisme gravé. Quatre petits fragments de verre peint portant un décor de motifs végétaux et un visage « masculin » ont été trouvés dans le chœur ; on ne sait s’ils appartenaient à un vitrail.


Considérations critiques sur les états et sur la chronologie

Chronologie

État I : Ve siècle

En l’absence de mobilier archéologique datant, c’est essentiellement la chronologie relative de l’occupation et des structures, et sa typologie qui permet de situer actuellement ce premier état au cours du Ve siècle. Rappelons que l’édifice retrouvé en 1913 se superposait à un mausolée antique tardif, qui pourrait avoir été édifié au IVe siècle. La basilique, au plan en « tau », est formée d’une nef rectangulaire, correspondant à la basilique de Pernet et de Point et, à l’est, d’un chœur de moindre largeur, qui passait jusqu’alors pour une des « annexes » bordant l’église. Ce chœur était flanqué, au nord et au sud, de deux pièces dépassant la largeur de la nef.


État II : VIe-VIIIe siècle

L’édifice a été par la suite flanqué, au nord et à l’ouest, d’un couloir ou portique funéraire. Cette extension a été datée par le mobilier funéraire déposé dans les sarcophages. Le chœur, à l’est, et le couloir funéraire, à l’ouest, se prolongeaient vers le sud sous forme de deux « annexes », suite de locaux qui pourraient appartenir au « monasterium » mentionné dans les textes du VIIIe siècle. Basilique et « annexes » dessinent alors une vaste cour de 18 m sur 17 m, ouverte au sud, et qui correspond probablement à l’ « atrium» mentionné dans le texte des « miracula » du IXe siècle.


État III : fin du IXe-Xe siècle

Le couloir funéraire et les annexes qui flanquaient le chœur semblent avoir été abandonnés au IXe siècle, à la suite du départ du corps saint à Flavigny en 866, qui voit la fin quasi totale de la fonction funéraire du site et la réduction de la basilique à une modeste «  chapelle », définitivement abandonnée au Xe ou XIe siècle. L’analyse épigraphique de la patène en plomb indique la phase finale d’occupation des lieux (Xe siècle), après le départ des reliques à Flavigny (866) et la datation du mobilier céramique et de l’outillage civils du modeste « établissement agricole », qui s’installe dans les ruines de la basilique au XIe siècle, fonde le terminus ante quem du sanctuaire.




Informations sur la publication

Date juin 7, 2011
Auteur Pwahlen Fiche personnelle
Statut de la fiche 4. Fiche non validée
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