« CLERMONT-FERRAND, église Saint-Antolien » : différence entre les versions

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{{Topographie
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|sources_archives=Grégoire de Tours.
|sources_indirectes=Grégoire de Tours, ''Liber in gloria Martyrum'', 64, in Teil II. ''Miracula et opera minora'', I, texte établi par Krusch B., MGH. SS rer. Merov. I, 2, Hanovre, 1885, « ''De eodem, et de sepulchro Vitalinae virginis'' », p. 531-532.
La basilique dédiée au martyr Antolianus aurait été édifiée entre 515 et 525 par l’épouse (Placidina) et par la sœur (Alchima) d’Apollinaire, fils de Sidoine Apollinaire. Une fois l’édifice achevé, un ciborium est édifié au-dessus de l’autel. La voûte était par ailleurs ornée de peintures. : Erectis tamen parietibus, super altare aedis illius turrem ac columnis Pharis Heracliisque transvolutis arcubus erexerunt, miram camerae fucorum diversitatibus imaginatam adhibentes picturam. Le lieu de culte a fait l’objet de réfections entreprises par l’évêque Avit Ier. Cet édifice a probablement reçu, au VIIe siècle, la tombe de l’évêque Gallus II (v. 650-v. 656). Celle-ci a peut-être engendré un changement de titulature de l’édifice, si bien qu’au Xe siècle, le Libellus de ecclesiis Claromontanis mentionne une église Saint-Gall dans laquelle reposent les corps des saints Antolianus et Gallus (à moins que le corps d’Antolianus n’ait été transféré dans une église dédiée à saint Gall avant cette date).
|sources_archeologiques=L’édifice fait l’objet d’une notice dans la Topographie chrétienne des cités de la Gaule (Prévot F. et Barral-i-Altet X. 1989, p. 35, puis Chevalier P. et Gauthier F. 2014, p. 85). Des vestiges identifiés à la basilique du VIe siècle ont été découverts en 2005- 2006, sur une parcelle longée par la rue Sainte-Georges et située en face de l’établissement Saint-Alyre (Alfonso G. 2006, p. 86 ; Gauthier F. 2007, p. 84-85).
|bibliographie=Grégoire de Tours, Liber in gloria Martyrum, 64, in Teil II. Miracula et opera minora, I, texte établi par Krusch B., MGH. SS rer. Merov. I, 2, Hanovre, 1885, « De eodem, et de sepulchro Vitalinae virginis », p. 531-532.


Libellus de ecclesiis Claromontanis, in Passiones vitaeque sanctorum aevi merovingici (V), texte établi par Krusch B. et LevisonW., MGH. SS rer. Merov. VII, Hanovre, 1913, p. 456- 467, ici n° 8, p. 459.
''Libellus de ecclesiis Claromontanis'', in ''Passiones vitaeque sanctorum aevi merovingici'' (V), texte établi par Krusch B. et Levison W., MGH. SS rer. Merov. VII, Hanovre, 1913, p. 456- 467, ici n° 8, p. 459.
|bibliographie=Prévot F., 1989, "Clermont", dans Prévot F., Barral-i-Altet X., ''Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle'', VI, ''Province ecclésiastique de Bourges (Aquitania Prima)'', éditions De Boccard, Paris, p. 35.


Alfonso G., « Clermont-Ferrand, 8-10 rue Sainte-Georges », Bilan Scientifique Régional de l’Auvergne, DRAC-SRA, 2006, p. 86.
Alfonso G., 2006, « Clermont-Ferrand, 8-10 rue Sainte-Georges », ''Bilan Scientifique Régional de l’Auvergne'', DRAC-SRA, 2006, p. 86.


Chevalier P., Gauthier F. avec des remarques de Prévot F., « Clermont », in Prévot F., Gaillard M. et Gauthier N. (dir.), Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle, XVI. Quarante ans d’enquête (1972-2012). 1. Images nouvelles des villes de la Gaule, éditions De Boccard, Paris, 2014, p. 81-86.
Gauthier F., 2007, « Clermont-Ferrand, 8-10 rue Sainte-Georges », ''Bilan Scientifique Régional de l’Auvergne'', DRAC-SRA, p. 84-85.


Gauthier F., « Clermont-Ferrand, 8-10 rue Sainte-Georges », Bilan Scientifique Régional de l’Auvergne, DRAC-SRA, 2007, p. 84-85.
Chevalier P., Gauthier F. avec des remarques de Prévot F., 2014, « Clermont », in Prévot F., Gaillard M. et Gauthier N. (dir.), ''Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle'', XVI. ''Quarante ans d’enquête (1972-2012). 1. Images nouvelles des villes de la Gaule'', éditions De Boccard, Paris, p. 81-86, ici p. 85.
 
Prévot F., Barral-i-Altet X., Province ecclésiastique de Bourges (Aquitania Prima), Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle, VI, éditions De Boccard, Paris, 1989.
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|description=L'église Saint-Antolien a probablement été construite vers le VIe siècle mais on ne connait pas encore la/les date/s de sa disparition.
|description=L’édifice se situait au nord-ouest de la butte centrale de Clermont, sur les bords de la Tiretaine, dans le ''vicus christianorum''. Des vestiges identifiés à la basilique du VIe siècle ont été découverts en 2005- 2006, sur une parcelle longée par la rue Sainte-Georges et située en face de l’établissement Saint-Alyre.
L’édifice se situe au nord-ouest de la butte centrale de Clermont- Ferrand, sur les bords de la Tiretaine.
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{{Informations générales
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|description=L'église Saint-Antolien a dû être construite vers le VIème siècle, mais on perd rapidement sa trace, soit parce qu'elle change de titulature soit parce qu'elle est détruite.
|description=Basilique suburbaine de fonction plutôt funéraire.
Sa fonction semble avoir été plutôt funéraire.
Grégoire de Tours est la principale référence et source pour cet édifice.
Des fouilles dans la rue Sainte-George à Clermont-Ferrand permettraient de confirmer, ou non, sa localisation qui est encore incertaine.
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{{Etat
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|plan=Plan inconnu
|plan=Plan longitudinal
|activite=Le bâtiment aurait été abandonné à la fin de la période carolingienne.
|parties=Grégoire de Tours évoque une basilique, qui aurait pu comporter une tour-lanterne.
|maconnerie=Une maçonnerie associée à des sols en mortier de tuileau est interprétée comme le mur gouttereau nord de l’édifice.
|activite=Construction.
|baptistere=La basilique est située à proximité d’un baptistère dont l’existence est attestée au VIe siècle par Grégoire de Tours.
|maconnerie=Une maçonnerie est interprétée comme le mur gouttereau nord de l’édifice.
|autel=L’autel était semble-t-il surmonté par un ciborium soutenu par des colonnes en marbre de Paros et d’Héraclée.
|sol=L'intérieur (de la nef ?) était couvert d'un sol en mortier de tuileau.
|autres=Une tour-lanterne a été envisagée par certains auteurs, au-dessus de l'autel.
|decor=L'église était ornée de peintures pour certaines figurées : ... ''miram camerae fucorum diversitatibus imaginatam adhibentes picturam.""
|baptistere=La basilique est située à proximité du baptistère du ''vicus christianorum'' dont l’existence est attestée au VIe siècle par Grégoire de Tours. Mais rien n'indique une relation entre les deux édifices.
|autel=L’autel est cité par Grégoire de Tours mais non décrit.
|ciborium=Un ''ciborium'' (ou une tour-lanterne?) est édifié au-dessus de l’autel. Ses arcs étaient soutenus par des colonnes en marbre de Paros et d’Héraclée : ''Erectis tamen parietibus, super altare aedis illius turrem ac columnis Pharis Heracliisque transvolutis arcubus erexerunt...''
|emplacement=Une aire funéraire se développait au nord du bâtiment identifié à la basilique Saint-Antolien.
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|structure=Trois rangées de sarcophages trapézoïdaux en trachyte.
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{{Considérations critiques
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|chronologie=La basilique est construite autour de 520. Mention dans l’œuvre de Grégoire de Tours et mention dans le Libellus de ecclesiis Claromontanis.
|chronologie=Mention dans l’œuvre de Grégoire de Tours et mention dans le ''Libellus de ecclesiis Claromontanis''.
|interprétation=La basilique funéraire est construite dans le vicus christianorum. L’évolution de cet édifice au cours du haut Moyen Âge est incertaine. Il était déjà dans un état vétuste au temps de Grégoire de Tours.
La basilique dédiée au martyr Antolianus a été édifiée entre 515 et 525 par l’épouse (Placidina) et par la sœur (Alchima) d’Apollinaire, fils de Sidoine Apollinaire.
|comparaisons=Une basilique, correspondant peut-être à Saint-Antolien, se situe à l’emplacement des n° 8-10 de la rue Sainte-George. Tous travaux réalisés dans ce secteur nécessitent une surveillance archéologique soutenue.
Le lieu de culte a fait l’objet de réfections entreprises par l’évêque Avit Ier. Cet édifice a probablement reçu, au VIIe siècle, la tombe de l’évêque Gallus II (v. 650-v. 656). Celle-ci a peut-être engendré un changement de titulature de l’édifice, si bien qu’au Xe siècle, le ''Libellus de ecclesiis Claromontanis'' mentionne une église Saint-Gall dans laquelle reposent les corps des saints Antolianus et Gallus (à moins que le corps d’Antolianus n’ait été transféré dans une église dédiée à saint Gall avant cette date).
|interprétation=La basilique funéraire est construite dans le ''vicus christianorum''. L’évolution de cet édifice au cours du haut Moyen Âge est incertaine. Il était déjà dans un état vétuste au temps de Grégoire de Tours, mais on ne connait pas encore la/les date/s de sa disparition. Le bâtiment fouillé aurait été abandonné à la fin de la période carolingienne. Mais si ont opte pour le glissement de titulature Saint-Antolin/Saint-Gall, l'église est encore en fonction au Xe s.
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|date_fiche=janvier 1, 1970
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Version du 1 mai 2017 à 11:44

Données

Topographie

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Pays
Région
Département
Commune
Insee 63113
Adresse/Lieu-dit 8 Rue Sainte-George, 63000, Clermont-Ferrand
Toponyme
Propriétaire
Protection de l'édifice
Références cartographiques
Numéro parcellaire sur le Cadastre actuel
Latitude 45.78343
Longitude 3.08225
Altitude 372

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Sources historiques et identification

Sources indirectes

Grégoire de Tours, Liber in gloria Martyrum, 64, in Teil II. Miracula et opera minora, I, texte établi par Krusch B., MGH. SS rer. Merov. I, 2, Hanovre, 1885, « De eodem, et de sepulchro Vitalinae virginis », p. 531-532.

Libellus de ecclesiis Claromontanis, in Passiones vitaeque sanctorum aevi merovingici (V), texte établi par Krusch B. et Levison W., MGH. SS rer. Merov. VII, Hanovre, 1913, p. 456- 467, ici n° 8, p. 459.


Sources Bibliographie

Prévot F., 1989, "Clermont", dans Prévot F., Barral-i-Altet X., Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle, VI, Province ecclésiastique de Bourges (Aquitania Prima), éditions De Boccard, Paris, p. 35.

Alfonso G., 2006, « Clermont-Ferrand, 8-10 rue Sainte-Georges », Bilan Scientifique Régional de l’Auvergne, DRAC-SRA, 2006, p. 86.

Gauthier F., 2007, « Clermont-Ferrand, 8-10 rue Sainte-Georges », Bilan Scientifique Régional de l’Auvergne, DRAC-SRA, p. 84-85.

Chevalier P., Gauthier F. avec des remarques de Prévot F., 2014, « Clermont », in Prévot F., Gaillard M. et Gauthier N. (dir.), Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle, XVI. Quarante ans d’enquête (1972-2012). 1. Images nouvelles des villes de la Gaule, éditions De Boccard, Paris, p. 81-86, ici p. 85.

Conservation

L'édifice a disparu.

Titulature historique

Saint-Antolien

Diocèse actuel

Clermont-Ferrand

Diocèse historique

Clermont


Contexte d’implantation

Description

L’édifice se situait au nord-ouest de la butte centrale de Clermont, sur les bords de la Tiretaine, dans le vicus christianorum. Des vestiges identifiés à la basilique du VIe siècle ont été découverts en 2005- 2006, sur une parcelle longée par la rue Sainte-Georges et située en face de l’établissement Saint-Alyre.

Structures antérieures

L’église s’implante dans un quartier suburbain encore mal connu de la ville d’Augustonemetum.

Habitat contemporain

Une aire funéraire bordait l'édifice au nord. La basilique était également située à proximité d’un baptistère.


Fonction

Description

Il s'agit d'un édifice religieux comportant à proximité une aire funéraire et un baptistère.


Informations générales

Description [[Image:{{{PlanGeneral}}}|thumb|right|border|135px|Évolution du plan]]

Basilique suburbaine de fonction plutôt funéraire.

CLERMONT-FERRAND, église Saint-Antolien (Galerie d'images)|


Articulation en états

Etat I

Etat I
EmptyData.png Architecture

Plan

Plan longitudinal

Parties

Grégoire de Tours évoque une basilique, qui aurait pu comporter une tour-lanterne.

Matériaux et techniques de construction

Activité

Construction.

Maçonnerie

Une maçonnerie est interprétée comme le mur gouttereau nord de l’édifice.

Sol

L'intérieur (de la nef ?) était couvert d'un sol en mortier de tuileau. EmptyData.png

Autres

Une tour-lanterne a été envisagée par certains auteurs, au-dessus de l'autel.

Décor

L'église était ornée de peintures pour certaines figurées : ... miram camerae fucorum diversitatibus imaginatam adhibentes picturam.""

Installations liturgiques

Cuve baptismale

La basilique est située à proximité du baptistère du vicus christianorum dont l’existence est attestée au VIe siècle par Grégoire de Tours. Mais rien n'indique une relation entre les deux édifices. EmptyData.png

Autel

L’autel est cité par Grégoire de Tours mais non décrit. EmptyData.png EmptyData.png

Ciborium

Un ciborium (ou une tour-lanterne?) est édifié au-dessus de l’autel. Ses arcs étaient soutenus par des colonnes en marbre de Paros et d’Héraclée : Erectis tamen parietibus, super altare aedis illius turrem ac columnis Pharis Heracliisque transvolutis arcubus erexerunt... EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png EmptyData.png

Sépultures

Emplacement

Une aire funéraire se développait au nord du bâtiment identifié à la basilique Saint-Antolien.

Structure

Trois rangées de sarcophages trapézoïdaux en trachyte.

Inscriptions

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Objets dispersés non rattachables à l'architecture de l'église

Liste des objets

Des sarcophages trapézoïdaux ont été découverts.


Considérations critiques sur les états et sur la chronologie

Chronologie

Mention dans l’œuvre de Grégoire de Tours et mention dans le Libellus de ecclesiis Claromontanis. La basilique dédiée au martyr Antolianus a été édifiée entre 515 et 525 par l’épouse (Placidina) et par la sœur (Alchima) d’Apollinaire, fils de Sidoine Apollinaire. Le lieu de culte a fait l’objet de réfections entreprises par l’évêque Avit Ier. Cet édifice a probablement reçu, au VIIe siècle, la tombe de l’évêque Gallus II (v. 650-v. 656). Celle-ci a peut-être engendré un changement de titulature de l’édifice, si bien qu’au Xe siècle, le Libellus de ecclesiis Claromontanis mentionne une église Saint-Gall dans laquelle reposent les corps des saints Antolianus et Gallus (à moins que le corps d’Antolianus n’ait été transféré dans une église dédiée à saint Gall avant cette date).

Interprétation

La basilique funéraire est construite dans le vicus christianorum. L’évolution de cet édifice au cours du haut Moyen Âge est incertaine. Il était déjà dans un état vétuste au temps de Grégoire de Tours, mais on ne connait pas encore la/les date/s de sa disparition. Le bâtiment fouillé aurait été abandonné à la fin de la période carolingienne. Mais si ont opte pour le glissement de titulature Saint-Antolin/Saint-Gall, l'église est encore en fonction au Xe s.



Informations sur la publication

Date mai 1, 2017
Auteur Pchevalier Fiche personnelle
Statut de la fiche 5. Fiche validée
Qualité de la fiche {{#paper_quality:1. Fiable}}